Monsieur Marco
M. Marco, de la maison à côté, était une tentation
permanente. Chaque matin, il venait faire de la musculation dans
son sous-sol.
Il savait parfaitement que de ma chambre, je pouvais voir tout
ce qu'il faisait. Même si je ne l'ai jamais vu regarder par la fenêtre
du sous-sol vers moi, je savais qu'il savait que je le regardais
faire ses exercices matinaux.
D'abord la course sur son tapis roulant. Il portait toujours
un débardeur moulant et un short flottant. Comme il courait et
transpirait son débardeur collait à ses pectoraux massifs et ses gros tétons
pointaient sous le tissu collé, ils étaient assez gros pour que
je les voie de ma fenêtre, là, juste en face. Son short de
course trempé de sueur révélait son volumineux service trois
pièces que ses cuisses ballottaient de gauche à droite à chaque foulée. Quand son
débardeur était trempé de sueur, il l'ôtait tout en courant et
le jetait sur le sol. La sueur ruisselait sur son torse musclé.
M. Marco descendait du tapis roulant, et faisait quelques
étirements et sûrement pour m'exciter enlevait son short
mouillé avant de s'allonger nu sur le banc de musculation et
soulever des poids. Certains autres jours, M. Marco s'asseyait
sur le banc, jambes de chaque côté et faisait lentement des
abdominaux son entre-jambe face à ma fenêtre. Il était
probablement excité de s'exhiber ainsi devant moi car sa queue
souvent se dressait, et si c'était possible, rigidifiait la
mienne encore plus.
Puis il allait à la douche, mais je ne pouvais voir que ses pieds... parfois il venait s'essuyer face à la fenêtre. Là, c'en était
trop, et en effleurant à peine mon sexe je jouissais
magnifiquement récupérant dans ma main que je léchais, mon
sperme juvénile abondant et épais.
Parfois mon copain, son fils Guillaume, avec qui j'étais en
Prépa Maths, venait prendre une douche avec lui et là, je
n'avais même pas besoin de me toucher pour éjaculer.
J'allais quelquefois chez eux sans jamais rencontrer son père
qui bossait assez tard dans la soirée.
J'aurais aimé qu'il me fasse signe, il savait qu'il
m'excitait. Je me
serais faufilé dans son sous-sol et pris soin de tous ses
besoins. Tout ce qu'il avait à faire était de lever les yeux
vers ma fenêtre et me faire un clin d'oeil
Mais les mois passaient et M. Marco ignorait sadiquement mon
désir.
Il fallait que je trouve, grâce à Guillaume, un moyen de voir
son père. Guillaume, lui même avait été gâté par la nature
et la déformation de son jean côté braguette était
significative.
L'occasion se présenta lorsque son père lui demanda que
distribuer, dans les boites à lettres, une invitation à une fête
de quartier. Je me proposai de l'aider.
Il avait entreposé les tracts dans la salle de gym au sous
sol. C'était l'été et le soir où nous nous y rendîmes pour
écouter les explications de M Marco et connaître les zones à
parcourir, j'avais mis sans slip, un short de vélo en lycra
vraiment moule-bite qui datait d'une année précédente. J'avais
vraiment grandi depuis et j'avais le paquet, volumineux,
franchement mis en valeur. M Marco, le remarqua...
La distribution de ce soir là finie, nous sommes descendus au
sous sol reposer les tracts restants pour les jours suivants. Voir
l'équipement sportif de M Marco, fermer les yeux et prendre une
longue et profonde inspiration pour sentir les riches arômes
d'homme en sueur, me faisait déjà bander. La queue de Guillaume
serrée, moulée, évidente, dans son pantalon en rajouta encore.
Son père, en sous-vêtement une serviette sur les épaules
descendit prendre une douche, il nous à félicité et demandé
ce qu'il restait à faire pour les autres soirs. Nous voyant en
sueur il à proposé que nous prenions aussi une douche. Il avait
sûrement remarqué nos entre-jambes suggestifs.
« Vous êtes sortis, comme ça ? Vous avez du faire peur
à toutes les filles » dit-il en matant et désignant nos
renflements.
Sans aucune pudeur il fit glisser son slip. Quels morceaux !
Une queue superbe épaisse et longue descendant plus bas encore
que les lourds testicules dans leur volumineux scrotum qui pendaint et
se balançaint tandis qu'il rejoignait la douche.
Je n'étais pas loin de la syncope et j'entendis Guillaume me
demander si tout allais bien.
« Putain ton Père est sacrément équipé ! »
dis-je sans réfléchir
« Ouais, il bien monté... et ton père ? »
« Je ne sais pas, il est très pudique. Toi le tien, tu
le vois nu souvent ? »
« Oh, oui on prend des douches ensemble, il me frotte le
dos ! Maman préfère ça plutôt que de saloper la douche du
haut »
Mon sexe bavait et mon lycra présentait une tache
significative au niveau du gland.
Je continuais à regarder son père, et Guillaume derrière
moi, qui s'en est aperçu, s'est collé à moi et à croisé ses
mains sur mon sexe bandé.
« Tu aimes le regarder, hein ? Il t'excite ? »
dit-il
Je crois que j'ai répondu « oui ».... et « Arête, ton
père va nous voir »
« Il sait ce que c'est, le désir des garçons »
Je voyais le sourire de M Marco nous observant.
« Déshabillons nous et allons nous doucher, c'est assez
grand pour trois. » dit Guillaume. A peine dit, Guillaume
queue triomphante rejoignit son père.
Je suis plus timide mais c'est maintenant ou jamais et la queue
battant la mesure je les rejoins. Guillaume s'agenouille et prends
ma bite dans sa bouche pendant que son père à moitié bandé, le
gland décalotté sort pour se sécher. Il me fait un
clin d'oeil et je vois que son sexe pointe le plafond. Mes jambes
flagellent et je dois me tenir aux parois de la douche.
M. Marco laissa tomber sa serviette et se dirigea vers son banc
d'exercice, il s'y coucha la bite dressée.
« Venez Guillaume et Nicolas »
Guillaume lâcha ma queue et rampa vers son père, à genoux
son cul bien rond et velu vers moi. Il a pris le sexe de son père
en bouche. Près d'eux je voyais à travers les mouvements des
joues le travail de sa langue et ses aspirations profondes qui
faisaient entrer la queue s'y profondément que parfois il avait
une sorte spasme de la glotte qui la lui faisait rejeter.
« Viens Nicolas..... suce le toi aussi. »
Mon « oui » timide était à peine audible mais je
me suis agenouillé et j'ai pris la grosse bite de M Marco en
bouche.
Guillaume voyait bien mon inexpérience et me guidait de la
parole et mimait les succions avec sa bouche.
Ma bite mouillait un max et Guillaume couché sous moi buvait,
aspirait le doux liquide que mon corps gaspillait, ce qui n'était
pas pour réduire mon excitation.
« Putain le sexe de Nicolas coule comme une fontaine ! »
dit Guillaume
« Alors, puis-je le goûter ?» dit M Marco
Il se dégagea de ma bouche et vint se coller à mon sexe
coulant avant même que j'ai réalisé que j'allais dire « oui »
« que s'est bon ce jeune jus, presque sucré, et si
doux, si désaltérant » dit-il, puis il a redirigé ma tête
vers son sexe.
« Respire par le nez, relaxe tes joues, Nicolas, laisse
le remplir ta bouche; Essaie d'aller jusqu'à la base et remonte
lentement en serrant progressivement les lèvres. Quand tu
sentiras le gland, alors tu pourras te servir de ta langue pour le
caresser. »
Quelques minutes se passèrent dans le silence, sauf les bruit
d'eau et de succion de ma bouche débutante.
« Ton jus était délicieux, garçon.... ton père y
a-t-il goûté ? »
La bouche occupée, j'ai orienté la tête pour dire non.
« Quel dommage pour lui...
Monte sur moi, je vais prendre ta queue pendant que tu
continues à sucer la mienne »
Il saisit mes hanches et avala ma queue qui continuait sa
sécrétion, puis il m'aplatit sur lui et je sentis sa langue qui
caressait mon anus et mes couilles puis il revenait ensuite se
désaltérer à nouveau.
La cuisse de Guillaume collée contre mon flanc, je
sentais qu'il se branlait doucement en nous observant.
M Marco a commencé à me sucer sérieusement, enfonçant mon sexe profondément en lui et à certains moments sa langue
incroyablement agile enveloppait mon gland et l'instant d'après
me faisait gémir de plaisir en parcourant son sillon, s'enfonçait légèrement dans mon méat, puis à nouveau contre
sa glotte, je sentais la palpitation de celle-ci, et ses lèvres
serrées sur la hampe allaient et venaient de la base du sexe à
mon gland pour me faire gémir à nouveau, mais c'était le point
de non retour et dans un glapissement j'ai déchargé dans sa
bouche plus que jamais je n'avais déchargé dans mes doigts, de
longues fusées qui suivies d'un spasme en appelaient une autre,
et un autre encore. J'ai joui plus longtemps que je n'avais jamais
joui.
Mon action sur sa queue était devenue totalement anarchique
néanmoins son sexe était encore plus rigide et gonflé comme si
celui-ci était prêt à jaillir tant ma jouissance l'avait excité
. Je repris mes esprits et m'enfonçait sa queue dans la gorge, je
la sentis vibrer, des spasmes venaient des abdominaux et des
cuisses et un flot tiède et visqueux en giclées successives
emplit ma bouche. Un goût douçâtre, paradoxalement un peu salé,
que je gardais en serrant mes lèvres sur le sexe qui
progressivement devenait plus souple, puis pour la première fois
j'avalais le foutre d'un autre.
Guillaume à genoux devant nous voulait savoir si nous avions
aimé le goût... moi beaucoup.... et M Marco lui dit que le
foutre d'un jeune homme est toujours absolument délicieux.
Il était temps que je rentre avant que mes parents ne
s'inquiètent, j'avais dit que je serai tôt à la maison. Je
m'habillais et me retournais pour les saluer. Père et fils
étaient bien bandés côte à côte et avaient encore un joli
programme en perspective..... je serais bien resté.....
« A demain Nicolas, reste sage d'ici là, nous avons
encore beaucoup à faire tous les trois » dit M Marco.
Revenu dans ma chambre je voyais le sous-sol d'à côté je les
voyais s'embrasser, se caresser et M Marco sucer la bite de
Guillaume. Je n'entendais pas mais j'ai vu sur le visage de
Guillaume quand il a joui...
Puis ils ont disparu vers la douche, la lumière s'est
éteinte..... et je me suis branlé comme un perdu !
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mardi 28 juillet 2015
Monsieur Marco
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