mercredi 13 mai 2015

Papa soigne une démangeaison

J'ai adapté et traduit ce texte d'une revue américaine  spécialisée dans le style "Dad & Son", trouvée par hasard en fouinant le le net.
Cette revue s'appelle "Handjobs" et c'est dans la série "Bedtime tales"


Je me suis réveillé en sueur avec des démangeaisons partout et vraiment fortes dans les fesses. Je n'avais jamais ressenti cela et ne savais quoi faire.
Je reste là à essayer de penser à ce qu'il faut faire quand papa frappe à la porte de la chambre. Depuis que j'avais eu 18 ans il frappait toujours avant d'entrer.
  •  ça va Ronnie ?
  • Ouais, entre.
Il est venu jusqu'à mon lit et il pose sa main sur mon front. .
  • tu es en sueur, tu te sens fiévreux ?
  • Non, j'ai fait un cauchemar
  • je t'ai entendu gémir.

Il s'est assis sur le bord de mon lit
  • tu ne te souviens pas de ton rêve ?
  • Non, c'était juste bizarre et maintenant je sens des démangeaison partout.
  • T'as peut être une éruption de boutons.
Papa a tourné la lampe vers le lit et tiré les draps vers le bas. J'ai la bite raide
  • c'était sûrement un rêve agréable, j'imagine...
Il a passé la main sur mon torse et sur mes cuisses à la recherche de petits boutons. Ma bite s'est redressée aussitôt.
  • t'es un homme maintenant.
Je ne peux rien répondre tant j'ai la gorge sèche? Sa main est encore entre mes cuisses, sous mes couilles
  • il y a pas de boutons mais ta queue doit te démanger sérieusement.
Elle est raide et vibre accordée à mon pouls qui s'est nettement accéléré. En ramenant sa main de mon entre-cuisse, il la passe lentement sur mon sexe qui par ses battement s'est collé à sa paume, la mouillant d'une goutte de sécrétion claire. J'ai cru, j'avais envie qu'il la saisisse, mais non. Il s'est seulement essuyé sur mon gland décalotté ce qui m'a arraché un soupir sans équivoque.
Il m'a regardé dans les yeux, interrogatif. Je les ai fermé. Il a caressé mon gland quelques secondes et m'a demandé si ça démangeait toujours autant. Comme lorsqu'on fait un baiser à un enfant là où il s'est cogné, et qu'il n'a plus mal, c'est magique.
  • Pas autant, mais mon cul me démange encore beaucoup
  • Alors, il vaut mieux vérifier s'il y a une éruption, mets toi sur le ventre
Il m'a mis un traversin sous le bassin. J'avais les fesses en l'air et il me les a écartées avec ses mains
  • Voyons quel est le problème
Il s'est approché, et je sentais son souffle sur mon trou du cul. Il a écarté encore un peu et avec ses doigts à étiré mon anus.
  • Il semble tout à fait normal, rose et humide. Je vais quand même essayer de te soulager
J'ai senti quelque chose de doux, chaud et humide sur mon trou du cul et tout autour. De longs frissons me parcourent le dos et j'ai réalisé qu'il me lèche le trou. Je me sens si bien, j'ai les yeux fermés et j'ai soulevé le bassin et écarté les jambes pour le sentir mieux encore. Il m'a léché longtemps, forçant mon anus de sa langue. Je dois avoir trempé le traversin tellement je sens ma bite couler.
Papa m'a roulé sur le dos. Elle est rigide et palpitante. Il doit pouvoir se désaltérer avec tout le liquide qu'elle laisse s'écouler et qu'il aspire entre ses lèvres sur mon gland comme s'il suçotait un bonbon. Je tremble de tout mon corps alors Papa a pris toute ma queue dans sa bouche et m'a sucé très fort en la parcourant de la base au gland. Lorsqu'il à pris mes couilles dans ses mains, j'ai explosé et criant. Tout mon corps est contracté, même mes orteils se sont recroquevillés pendant que je remplis de foutre la bouche de Papa, en longues giclées successives. Il a gardé ma queue en bouche jusqu'à mes dernier spasmes, s'est redressé et a dégluti mon sperme en me souriant. Il s'est approché pour embrasser mon font en me disant :
  • Maintenant tu vas mieux dormir et les démangeaisons vont cesser.
Sa queue déforme largement son pantalon de pyjama et une large tache de sécrétion s'y étale. Il va éteindre la lampe de chevet lorsque instinctivement j'ai approché mon visage de son sexe.
Il a baissé son pantalon et j'ai pris sa bite gluante entre mes lèvres, ça aussi c'est instinctif, je me suis mis à le sucer. Il m'a enjambé et à califourchon sur ma poitrine, chatouillé par les poils drus de son cul et de ses couilles, j'ai pris sa queue tendue dans ma bouche, l'aspirant et comme lui glissant de la base jusqu'au gland. Il a fait comme un gloussement, un sanglot et j'ai su que ça venait. Alors j'ai bien serré les lèvres sur sa tige pour que rien ne se perde de ma bouche. Son jus épais, crémeux, me remplissait, l'odeur m'inondait, putain que j'aimais ça !
  • ta mère va se demander ce que je fais. Ce week-end on essaiera de s'occuper de ta démangeaison des fesses, je te promets..
J'ai quand même eu du mal à m'endormir, tant j'imaginais la promesse du week-end. Il a fallu que je me branle pour laisser le sommeil venir.


Ma bite était encore palpitante après avoir quitté la chambre de Ronnie. J'ai encore le goût de son sperme sur la langue. Peut-être tout cela est-il un rêve ?
Avant de retourné au lit avec ma femme, je suis allé me brosser les dents. Non, ce n'est pas un rêve, cela a vraiment eu lieu. Je me suis souvenu des nombreux souvenirs agréables partagés avec mon propre père.
Le lendemain je bosse de soirée à l'usine et je suis rentré après minuit. La maison est silencieuse. Pour ne pas faire de bruit je me suis déshabillé dans la buanderie. J'ai laissé mes vêtement et je suis monté, à poil, silencieusement, à la salle de bain, à côté de ma chambre. En passant j'ai écouté, l'oreille contre la porte de Ronnie. Il n'y avait aucun bruit. En repensant à sa queue dans ma bouche et au goût de son sperme, ma bite a durci et s'est dressée.
Silencieusement, j'ai ouvert sa porte et je suis entré dans sa chambre. Il y a un clair de lune qui l'éclaire de sa douce lueur bleutée. Je suis allé jusqu'à son chevet, me suis mis à genoux à côté de lui. Il est devenu un très beau jeune homme, aux épaules et au torse musclé par le sport. Il dort nu comme je le faisais étant jeune, j'aimais le contact, le frottement des draps qui me faisaient jouir pendant mon sommeil ou même sans dormir.
J'ai délicatement soulevé les draps pour ne pas le réveiller mais pour continuer de l'admirer, mon garçon.
Il a cligné des yeux, m'a regardé le regardant et dans un sourire complice m'a dit
  • c'est déjà le week-end ?
  • J'ai peur que ça te gratte trop et que ça t'empêche de te reposer.
  • Oui, ça me démange beaucoup.
  • Alors, il vaut mieux que je voie ça.
Il s'est mis sur le ventre et soulevant son bassin, a levé ses fesses vers moi. Je les ai écartées et j'ai contemplé sa fleur serrée, comme en bouton. J'ai enfoui mon visage entre ses fesses duveteuses et j'ai dévoré son trou comme mon père le faisait, à me faire défaillir.
  • Il démange encore ?
  • Pas autant, encore un peu, mais ça me fait beaucoup de bien.
  • Sans doute, il faut aller plus en profondeur dans le cul.
J'ai abondamment lubrifié l'anus de ma salive et commencé à le fouiller, écartant son trou serré avec mes doigts et les plongeant à l'intérieur. Ma bite coule de sécrétion comme une fontaine. J'ai gardé son trou entre-ouvert et amené mon gland au-dessus. Avec le flux régulier de pré-jus, mes doigts glissent foutrement mieux.
Ronnie, la tête enfouie dans l'oreiller, a ses mains dans le dos et joue avec ma bite et mes couilles, ses doigts caressent son trou glissant. Je m'empare de sa main et pousse ses doigts à l'intérieur.
  • tu vois Ronnie, comme c'est lubrifié et humide ? Pour ta démangeaison ça va être mieux..
Le cul soulevé comme il l'avait, je pouvais étreindre son bassin, tenir sa bite rigide, juteuse et ses couilles dans mes mains.
  • tâte ton trou, tu vois comme c'est glissant ? Je vais te faire une injection
  • Maintant ?
  • Oui, maintenant... après tu te sentiras beaucoup mieux.
Ronnie à sorti les doigts de son cul, attrapé ma bite, et la plaqué contre son anus lubrifié. Puis ses mains posées sur mes fesses, il me colle à lui pendant que je m'enfonce centimètre par centimètre.
Je voulais que mon garçon sente la bite de son père le pénétrer pour la première fois. Qu'il se souvienne de la douceur de ce moment comme ce fut le cas avec mon père.
Ronnie a laissé échapper un profond soupir, presque un gémissement lorsque ma bite entièrement plongée en lui, il a senti mes couilles contre ses fesses. Je suis resté immobile en lui, il ne peut ressentir que les seules palpitations de ma queue tendue à l'extrême. Longtemps nous sommes restés ainsi, sa queue dans ma main, trempant mes doigts de l'intensité de son désir. La mienne à l'identique s'épanchant continûment, noyant son rectum de mon lubrifiant.
Sentant sa bite se rigidifier, durcir comme de l'acier, j'ai lentement reculé en dedans de lui, puis me suis enfoncé à nouveau comme si tout mon amour pour lui s'était concentré en ces infimes mouvements, noyau étincelant, irradiant.
A peine un gargouillis guttural accompagne la contraction brutale de son corps lorsqu'il vient dans mes doigts en longues et abondantes fusées gluantes. Son sphincter qui m'écrase me fait exploser aussitôt. Affalé, pantelant sur mon garçon, mon cri s'est éteint contre son dos.
Dans la chambre l'odeur intense du foutre est notre vitale atmosphère, roulés sur le côté, nos mains étalent sur nos corps le jus qui en vient, et qui s'en écoule et dont nous voulons nous imprégner.
Son corps est maintenant blotti contre ma poitrine, comme autrefois l'enfant qu'il fut.
  • Je n'ai plus les fesses qui me grattent, me sussure-t-il à l'oreille
  • Si tu as besoin d'un autre traitement, n'hésite pas.



Schöner abend in Berlin : Ralf ; Titten spiele

J'essaie de me rendre à Berlin tous les ans. Il est quelquefois difficile de dire pourquoi on aime un lieu, une ville, et Berlin est de ces villes là. Pas beaucoup de faste architectural ancien à part le Gendarmenmarkt et l'ile des musées mais un terrain de jeu extraordinaire pour les plus géniaux architectes contemporains. Il y avait tout à reconstruire.
La première année où j'y suis venu il avait énormément neigé, et cela continuait. Il neigeait même à Roissy et je pensais que mon vol Lufthansa serait retardé voir même annulé, en fait je suis arrivé à Tegel à l'heure prévue. J'avais repéré quels bus prendre pour arriver au studio que j'avais loué. La Eisenacherstrasse était couverte d'un épais manteau de neige. Il régnait un silence étrange, pas de voitures, quelques cyclistes prudents. L'appartement était parfaitement ce qu'il me fallait avec un grand lit et une cuisine suffisante pour ce que je prévoyais : au mieux cuire des saucisses de toutes sortes et un frigo pour l'innombrable diversité des bières.
Grâce à Gayroyal j'avais pris un certain nombre de contacts, repéré les bars gay de Shöneberg, mon quartier. Tous étaient à proximité..
Dès le premier soir, je suis allé au XXX un bar cuir de Fuggerstrasse. La chaleur, la moiteur à l'intérieur contrastait avec le froid vif qui avait succédé à la neige. Au bar, je commande une bière, assis à côté d'un habitué, pas trop déguisé, qui me demande d'où je viens... à ma réponse en baragouin allemand les barmen ont vite compris qu'il valait mieux passer à l'anglais. Finalement on a pu discuter en triangulaire. Un accueil comme ça met vite à l'aise.
Le mec me plaisait bien, mais avec lui, seul l'allemand était possible. J'ai essayé de tourner une phrase pas trop incorrecte pour le lui dire ( totalement incorrecte en fait) mais il a bien compris et m'entraîne vers la backroom.
Nous avons pu goûter par nos salives les bières différentes que nous avions bues. Coincé dans un renfoncement du sombre couloir par son corps, plus grand que moi, sa salive coulait dans ma bouche. Comment pouvait-il en avoir autant.? J'aimais cela et je bandais très à l'étroit dans mon jean. Mes bras immobilisés je sentais ses mains remonter sous mes vêtements et attraper mes tétons. Ma queue n'en pouvait plus. Nos bouches toujours accolées il percevait mes gémissements de gorge, et me travaillait les seins dans un crescendo divin pour revenir aux délicates caresses et brusquement me les tirer et les tordre à m'en faire hurler, ce que je ne faisait pas mais mon corps l'exprimait. Il a cessé de m'immobiliser et brutalement ôté pull et maillot, pour me sucer avidement les tétons. Ses mains caressaient mes fesses à travers le pantalon, et mes tentatives de le caresser étaient stoppées pas une claque sur la main... il voulait seul me dominer ainsi et il le faisait bien. Il avait compris à quel point il faut s'abandonner aux caresses de l'autre pour n'en perdre rien.
Il a baissé mon pantalon et le slip tendu par ma queue rigide et palpitante et s'est abouché à mon sexe essayant de le prendre dans son entier avec un grande douceur. Ses doigts continuaient de me triturer les tétons. Ainsi je deviens fou et j'ai été obliger de le repousser avec violence pour qu'il ne me fasse pas jouir. Je l'ai tiré vers ma bouche pour l'embrasser encore et à mon tour je l'ai poussé vers le mur. Il s'est laissé faire. Je lui ai tout de suite ôté le haut. Il avait des tétons magnifiques, trois fois gros comme les miens, étonnamment durs pour leur taille. Simplement les voir m'a donné un rigidité d'acier. Je les avais à peine effleurés que dans son souffle haletant s'entendait comme un léger feulement. Pendant un moment je les ai longuement caressés du bout des doigts, de ma paume ouverte, symétriquement, parfois j'en prenais un puis l'autre en bouche, les caressant de ma langue et me retirant en serrant les lèvres. Ses feulements n'étaient déjà plus un murmure. Alors, longtemps, je les ai roulés entre mes doigts, en serrant progressivement tout en tirant un peu. Son buste arcbouté tendant ses seins vers moi me montrait à quel point il en voulait encore. L'intensité de son plaisir me rendait moi même dingue et je sentais sur ma queue dressée couler le liquide séminal. Mes doigts serraient de plus ses tétons en les tordant, à presque en avoir des crampes, je les tirais sauvagement accordé au rythme de ses cris rauques de bête sauvage.
Soudain il dégagea ses bras baissa son jean, empoigna mes cheveux, me rentra sa bite épaisse au plus profond de la gorge et de suite, dans un grognement sourd, il jouit, encore, encore, longuement dans ma bouche qui se délectait de son lait. Ni lui ni moi n'avions envie de quitter cette position, son sexe au chaud dans ma bouche et ma langue tactile caressant son membre épais qui peu à peu se relâchait.
Il savait qu'il n 'aurait pas grand chose à faire pour mon plaisir. Sa langue avait repris ma langue échangeant le goût de son sperme, ses doigts avaient repris mes tétons, et à mes gémissements il sut quand me prendre en bouche et recevoir mon jus brûlant.
De retour au comptoir, les sourires narquois des clients et des barmen répondaient à nos sourires béats de satisfaction. Il échangèrent quelques plaisanteries en allemand que l'on me traduisit. J'ai cru comprendre qu'il avait dit que j'étais un bon coup. Il ne m'a pas fallu de gros efforts de mime pour lui signifier que lui aussi.
Bis bald Ralf...... Ich hoffe.

Marc

Cosmopolitan Berlin : gefickt hart

Depuis mon arrivée, le froid n'a pas permis à la neige de fondre. Elle est maintenant un peu pulvérulente et jaunâtre sur les trottoirs piétinés mais les rue restent bien blanches. Toujours aussi ce silence feutré inhabituel dans uns grande ville. Hier en revenant par le métro, qui est aérien à cet endroit, après Gleisdreieck en pleine ville, un grand espace blanc ponctué des cabanons d'un jardin ouvrier. Un endroit inimaginable au coeur des grandes ville françaises. Je suis descendu à la station suivante (Bülowstr) pour aller fouler cette neige vierge, profonde et crissante au milieu des petites cabanes, dérangeant des multitudes de petits passereaux des jardins.

Avant mon départ j 'avais plus ou moins prévu de multiples rencards que je finalisais au jour le jour sur mon petit ordinateur au studio. Il y avait des hauts et des bas.

Hier par exemple, un Croate. Un mec trapu, musclé, la quarantaine, bref un mec comme je peux les aimer.
On a bu une bière côte à côte sur le canapé et j'ai commencé à le caresser. Il bandait déjà et ça se voyait bien. Je le déshabille et commence à sucer son membre très épais ... (qui me rappelle celui de Vladimir... en plus court....non, pas de digressions !) Il n'était pas trop coopérant mais j'ai mis ça sur le compte de la timidité. Je me déshabille aussi, il met la capote proposée et commence à me troncher. C'était pas mal, pas trop rapide mais pas très long non plus et ensuite le mec était inutilisable. Il ne savait jouer que perso... donner du plaisir à un partenaire, il n'y avait jamais pensé. Si nous avions pu communiquer, il m'aurait sûrement dit que lui, il n'est pas pédé. Un classique de macho, mais un peu frustrant.

Ce soir j'ai rendez-vous avec un homme au pseudo intrigant : « kilo ». On doit se retrouver à mon bar cuir préféré XXX. À 17h. Je ne sais pas à quoi il ressemble. Il me reconnaitra, a-t-il écrit. A l'heure dite un type se pointe devant ma table. « Hello Marc, I am Mustafa ». « Kilo » même en imaginant, ne faisait pas penser à cet homme, à peine quarante ans, petit, mince mais dont on percevait tout de suite la musculature sèche. Je lui propose une bière ce qu'il refuse, sans doute est-il musulman, un Coca, alors ? Je vois bien qu'il est mal à l'aise et préférerait qu'on parte rapidement, l'environnement ici ne lui convient pas. Nous partons dans la neige, à pas glissés, vers mon home sweet home. Il me dit qu'il est égyptien.
A peine le temps d'enlever chaussures et parkas, il m'embrasse et me pousse vers le lit. Je suis un peu interloqué mais c'est aussi bien de ne pas passer une plombe avant de se décider. Nous sommes à poil en un rien de temps et son désir est évident : une belle queue circoncise droite comme un I majuscule courte et assez épaisse et d'une dureté comme j'en ai rarement palpé. Il chope une capote, l'enfile, m'embrasse à nouveau tout en me relevant les jambes et me pénètre à peine lubrifié de sa salive. Son extrême excitation me fait bander comme un cerf. Jamais encore je n'avais été enculé par une bite aussi dure et rigide, et la sensation est vraiment étonnante, différente de celle procurée par des sexes plus souples. Chaque coup de queue je le ressens de manière intense, presque douloureuse mais mon excitation sublime cette presque douleur en un plaisir inconnu encore. L'excitation dans laquelle il est, est pour moi aussi, assez inédite. Hélas, dans une telle conjoncture la durabilité s'en ressent, et secoué de tremblement, rapidement, il s'écroule sur moi.. Pas de chance c'était vraiment très bien, ai-je pensé..
Là, tel qu'il est, dans mes bras, je peux le caresser, de nouveau reprendre ses lèvres et reprendre le long baiser du départ. Je peux le basculer sur le dos et commencer à parcourir de ma langue son torse glabre, tout son corps dur, dense, musclé... son sexe n'a pas débandé. Je l'ai à peine effleuré de mes lèvres qu' il me fait pivoter sur le flanc et me pénètre à nouveau. Son rythme est un peu plus lent mais son souffle sur mon cou est toujours haletant. Ainsi sa bite va profondément en moi car je peux mieux coller mon cul à son bas-ventre et me tordre encore pour l'avaler plus encore. Mon anus est étroitement serré sur son sexe, et je sens là aussi la dureté de son pénis. Il me pilonne, me perce, me fore, me troue, m'empale sur son acier. Mes gémissements, par les secousses qu'il m'inflige, sont des hoquets de plaisir,. Je n'ai plus la notion du temps. J'imagine mon anus béant, dégoulinant, salivant, au passage de son vit. Dans une ultime lordose pour l'introduire au plus profond, j'entends un grognement finissant en gargouillis et je sens son corps s'abandonner sur le mien, la respiration courte et irrégulière.
Il est trempé de sueur lorsque je le reprends dans mes bras et couvre son visage, son cou de baisers. Je le serre contre moi et le caresse tendrement. Il est inerte, tout tonus musculaire semble l'avoir déserté. Ma tendresse pour lui, qui m'a si bien baisé, se traduit dans le plaisir que j'ai à le caresser et à l'étreindre ainsi. C'est sûr, j'ai la reconnaissance du cul.
Tous son corps frissonne sous mes doigts, pas la moindre surface insensible. et ses miaulements murmurés encouragent mes mains, mes lèvres à le parcourir, de ses orteils que je suce, ma langue qui parcoure sa cheville, sa jambe, s 'arrête à son creux poplité, remonte l'intérieur de ses cuisses et vient lécher ses boules engluées du sperme qui à coulé quand il a enlevé la capote. Bien sûr, il est déjà rigide mais me laisse continuer mon exploration. Ma langue fouille son nombril et se hissant vers ses tétons les caresse doucement, il gémit faiblement, son cou offert que je suce à pleine bouche, ses oreilles ou ma langue agile se glisse et à nouveau , ses lèvres, sa bouche ouverte à la mienne, nos salives mélangées coulant sur nos visages, nos cou. Sa main derrière ma tête appuie ma bouche sur la sienne et son baiser devient fébrile, passionné. Sa queue est collée, dure, à mon ventre. Il me retourne et entre en moi à nouveau
Ses dents sur ma nuque me maintiennent, une main sur mon visage, ses doigts dans ma bouche que je suce, excité par son désir insatiable, l'autre main sous moi autour de mon sexe. Si le rythme est plus lent la dureté de sa queue reste identique et mon cul le ressent toujours aussi intensément. Les secousses qu'il m'inflige branlent ma queue entre ses doigts et je dois faire un effort pour ne pas jouir, pour essayer de venir avec lui. J'y suis presque arrivé. Il a jouit, presque aussitôt dans un sanglot.....
Nous nous sommes endormis ainsi emmêlés, épuisés, baignés de sueur, de salive et de sperme.

Il m'a repris avant le Frühstuck mais mon cul était vraiment endolori de la nuit et je l'ai sucé en me branlant... du coup j'ai anticipé le petit déjeuner.
Les parois de mon anus douloureuses ont permis pendant plusieurs jour de maintenir vivace le souvenir d'avoir été habité par lui.
Aujourd'hui je vais mettre la pédale douce, si je puis dire.
Je n'avais jamais rencontré un partenaire comme Mustafa, avec une telle capacité sexuelle, une telle puissance.... et à part lui, je n'en ai pas rencontré depuis non plus.
Nous nous sommes revus plusieurs fois à Berlin lors de mes séjours et encore récemment dans un grand hôtel parisien, sinistre, à côté de la Tour Eiffel, où il m'a aussi fisté.



Marc

Si les crevettes c'est pas votre truc, si vous aimez les culturistes asiatiques solidement charpentés et charnus....

Si les crevettes c'est pas votre truc, si vous aimez les culturistes asiatiques solidement charpentés et charnus vous aimerez comme moi les dessins  d'OTOKONO. 

Ce sont des dessins glanés il y a quelques années, mais aujourd'hui, je n'ai pas trouvé de liens pour vous diriger sur sa page perso, ni officielle ni officieuse.